Un Homme à distance
J'ai achevé ce roman de Katherine Pancol cet après-midi au travail. Je l'avais commencé hier soir. Il s'agit de 169 pages qui se lisent vite, très vite, très facilement. J'ai été emporté par ce livre. Il raconte l'histoire d'une femme et d'un homme, et ce qu'il reste de leur histoire, ce sont les lettres qu'ils se sont écrites.
Lui, se présente comme un journaliste américain cherchant matière à écrire un guide sur la France et fervent amateur de littérature. Elle, c'est la libraire à qui Il s'adresse pour lui dénicher les classiques littéraires chers à son coeur et qui ponctueront son périple à travers la France.
Ils vont s'écrire donc. Un an durant, se révélant peu à peu à l'autre, de façon touchante, parfois poignante. La fin ? C'est une fin comme on s'y attend, mais pas tant que ça. Une fin triste soyons honnête, il en est rarement autrement dans de telles histoires.
Pour finir, je pense qu'il me faut reprendre les mots utilisés sur la couverture : c'est "L'histoire d'un amour haut comme une cathédrale, violent comme une bordée de pirates, avec des chants, des confessions, de l'encens, des abordages, des orages, des prises d'otages. Beaucoup de ferveur, beaucoup de souffrance aussi. On l'oublie trop maintenant, la souffrance peut être magnifique. Magnifique."
Lui, se présente comme un journaliste américain cherchant matière à écrire un guide sur la France et fervent amateur de littérature. Elle, c'est la libraire à qui Il s'adresse pour lui dénicher les classiques littéraires chers à son coeur et qui ponctueront son périple à travers la France.
Ils vont s'écrire donc. Un an durant, se révélant peu à peu à l'autre, de façon touchante, parfois poignante. La fin ? C'est une fin comme on s'y attend, mais pas tant que ça. Une fin triste soyons honnête, il en est rarement autrement dans de telles histoires.
Pour finir, je pense qu'il me faut reprendre les mots utilisés sur la couverture : c'est "L'histoire d'un amour haut comme une cathédrale, violent comme une bordée de pirates, avec des chants, des confessions, de l'encens, des abordages, des orages, des prises d'otages. Beaucoup de ferveur, beaucoup de souffrance aussi. On l'oublie trop maintenant, la souffrance peut être magnifique. Magnifique."